Cow-boys vs Crisis
C'est toujours drôle le Figaro, surtout le 5 août 2011 :
"Des marchés surveillés comme du lait sur le feu. Depuis le Cap Nègre (Var), où il séjourne, Nicolas Sarkozy est tenu informé «heure par heure» de l'évolution de la situation par le secrétaire général de l'Élysée, Xavier Musca, lui-même en Corse."
Traduction : Nicolas suit le Twitter de la Bourse de Paris
"Le chef de l'État a multiplié les échanges téléphoniques avec ses homologues européens."
Traduction : "Allo Angela ? C'est Nico, putain on va l'avoir dans le cul !"
"«J'avais, entre-temps, eu au téléphone mes homologues italien et espagnol, ainsi que Jean-Claude Trichet, pour comprendre si l'inquiétude venait de la lenteur à traduire concrètement les décisions qui ont été prises pour renforcer le Fonds européen de stabilité financière, ou si c'était plus profond. On a rapidement compris que les interrogations étaient sérieuses sur les dettes souveraines », confie François Baroin, depuis son bureau à Bercy."
Traduction : "Putain ! Qu'est-ce qu'on va trouver comme excuse bidon ce coup-ci ?!"
C'est toujours drôle le Figaro, surtout le 5 août 2011 :
"Des marchés surveillés comme du lait sur le feu. Depuis le Cap Nègre (Var), où il séjourne, Nicolas Sarkozy est tenu informé «heure par heure» de l'évolution de la situation par le secrétaire général de l'Élysée, Xavier Musca, lui-même en Corse."
Traduction : Nicolas suit le Twitter de la Bourse de Paris
"Le chef de l'État a multiplié les échanges téléphoniques avec ses homologues européens."
Traduction : "Allo Angela ? C'est Nico, putain on va l'avoir dans le cul !"
"«J'avais, entre-temps, eu au téléphone mes homologues italien et espagnol, ainsi que Jean-Claude Trichet, pour comprendre si l'inquiétude venait de la lenteur à traduire concrètement les décisions qui ont été prises pour renforcer le Fonds européen de stabilité financière, ou si c'était plus profond. On a rapidement compris que les interrogations étaient sérieuses sur les dettes souveraines », confie François Baroin, depuis son bureau à Bercy."
Traduction : "Putain ! Qu'est-ce qu'on va trouver comme excuse bidon ce coup-ci ?!"