Petits articles entre amis
Les joies de la presse libre décryptées encore une fois par l'Acrimed :
"Pour bien saisir le journalisme selon Challenges, du moins dans ce « Top 100 », il faut aussi lire le portait de Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde, et lire le portrait de Frédéric Oudéa (patron de la Société Générale)… par ledit Richard. [...] Pour déchiffrer le journalisme selon Challenges, il faut lire, sans rire, le portrait de Vincent Bolloré par Alain Minc : « activisme obsessionnel », « il ajoute à la confiance en soi du tycoon la décontraction du fils de famille », « hybride du Petit Prince et de Machiavel »… Le premier est l’employeur du second pour sa chaîne Direct 8, le second est le conseiller financier du premier, via sa boîte de conseil « AM conseil ». Pour savourer le journalisme selon Challenges, il ne faut pas rater le portait décomplexé de Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France, par Albert Frère, Président du Groupe Bruxelles Lambert qui commence par un « Bernard et moi nous entendons très bien ». On s’en serait douté.[...]Quant à ceux qui douteraient du zèle de Jean-Marie Colombani, ils pourront contempler, sur deux pages, le portrait involontairement délicieux de Nicolas Sarkozy tracé de main de maître par l’ancien directeur du Monde : « Sur le front de la société française, de ses enjeux, c’est-à-dire de la réforme du pays, il y a quelques bonnes raisons de penser qu’il vaut mieux continuer à faire ce qu’il fait. »"
Les joies de la presse libre décryptées encore une fois par l'Acrimed :
"Pour bien saisir le journalisme selon Challenges, du moins dans ce « Top 100 », il faut aussi lire le portait de Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde, et lire le portrait de Frédéric Oudéa (patron de la Société Générale)… par ledit Richard. [...] Pour déchiffrer le journalisme selon Challenges, il faut lire, sans rire, le portrait de Vincent Bolloré par Alain Minc : « activisme obsessionnel », « il ajoute à la confiance en soi du tycoon la décontraction du fils de famille », « hybride du Petit Prince et de Machiavel »… Le premier est l’employeur du second pour sa chaîne Direct 8, le second est le conseiller financier du premier, via sa boîte de conseil « AM conseil ». Pour savourer le journalisme selon Challenges, il ne faut pas rater le portait décomplexé de Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France, par Albert Frère, Président du Groupe Bruxelles Lambert qui commence par un « Bernard et moi nous entendons très bien ». On s’en serait douté.[...]Quant à ceux qui douteraient du zèle de Jean-Marie Colombani, ils pourront contempler, sur deux pages, le portrait involontairement délicieux de Nicolas Sarkozy tracé de main de maître par l’ancien directeur du Monde : « Sur le front de la société française, de ses enjeux, c’est-à-dire de la réforme du pays, il y a quelques bonnes raisons de penser qu’il vaut mieux continuer à faire ce qu’il fait. »"