Site du Nouvel Observateur, le 10 septembre 2008 :
"Un recours devant le Conseil d'Etat a été déposé par un collectif d'associations, afin de demander l'annulation d'un fichier classé secret-défense, baptisé Cristina [...] Celui-ci recense des données similaires à celles du fichier policier Edvige. [...] Cristina, acronyme de "Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et les intérêts nationaux" est un fichier mis à la disposition de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) [...] Le décret instituant le fichier Cristina n'a pas été publié compte tenu de son classement secret-défense"
Pour plus d'infos sur Edvige, le Blog de Frederic Rolin :
"il apparaît que cette nouvelle version du « fichier des RG », même si elle s'inscrit dans la continuité des précédentes, constitue une indéniable aggravation de la surveillance étatique sur les citoyens [...] Ce nouveau développement n'a été rendu possible que parce que les pouvoirs de la CNIL ont été réduits en 2004, avec l'assentiment, voire les encouragements de son actuel président. Plus de fichages de sécurité, moins de garantie des droits. Oui, assurément, ce fichier progresse dans la voie de la « soft dictature », de celle qui ne laisse les libertés se déployer que dans l'espace privé et qui les contrôle depuis l'espace public."
"Un recours devant le Conseil d'Etat a été déposé par un collectif d'associations, afin de demander l'annulation d'un fichier classé secret-défense, baptisé Cristina [...] Celui-ci recense des données similaires à celles du fichier policier Edvige. [...] Cristina, acronyme de "Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et les intérêts nationaux" est un fichier mis à la disposition de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) [...] Le décret instituant le fichier Cristina n'a pas été publié compte tenu de son classement secret-défense"
Pour plus d'infos sur Edvige, le Blog de Frederic Rolin :
"il apparaît que cette nouvelle version du « fichier des RG », même si elle s'inscrit dans la continuité des précédentes, constitue une indéniable aggravation de la surveillance étatique sur les citoyens [...] Ce nouveau développement n'a été rendu possible que parce que les pouvoirs de la CNIL ont été réduits en 2004, avec l'assentiment, voire les encouragements de son actuel président. Plus de fichages de sécurité, moins de garantie des droits. Oui, assurément, ce fichier progresse dans la voie de la « soft dictature », de celle qui ne laisse les libertés se déployer que dans l'espace privé et qui les contrôle depuis l'espace public."