Les boulets de l'Hadopi
Bug Brother, le 4 février 2011 :
"le recours croissant des internautes à des outils et technologies de cryptographie et de protection de la vie privée, afin de se protéger de l’Hadopi, ou de la censure du Net comme c’était le cas en Tunisie notamment, embête très sérieusement les services de renseignement américains, mais également français. [...] Plutôt que de bloquer les sites, forums et autres réseaux sociaux où se nouent les contacts entre “frères“, les agents de la DCRI et de la DGSE qui les surveillent activement s’en servent pour se tenir informé, ou pour les infiltrer, quitte à créer de vrais-faux sites djihadistes [...] on avait ainsi appris que les services de renseignement américains avaient même “engueulé” leurs homologues français au sujet de l’Hadopi… suivant en cela les services de renseignement britanniques qui avaient déconseillé à leur gouvernement un tel mécanisme qui rendrait “difficile” la surveillance des internautes. On sait aussi désormais que la Hadopi, en poussant les internautes à se protéger et à recourir à la cryptographie, embête aussi les services antiterroristes de la DGSE et de la DCRI."
Bug Brother, le 4 février 2011 :
"le recours croissant des internautes à des outils et technologies de cryptographie et de protection de la vie privée, afin de se protéger de l’Hadopi, ou de la censure du Net comme c’était le cas en Tunisie notamment, embête très sérieusement les services de renseignement américains, mais également français. [...] Plutôt que de bloquer les sites, forums et autres réseaux sociaux où se nouent les contacts entre “frères“, les agents de la DCRI et de la DGSE qui les surveillent activement s’en servent pour se tenir informé, ou pour les infiltrer, quitte à créer de vrais-faux sites djihadistes [...] on avait ainsi appris que les services de renseignement américains avaient même “engueulé” leurs homologues français au sujet de l’Hadopi… suivant en cela les services de renseignement britanniques qui avaient déconseillé à leur gouvernement un tel mécanisme qui rendrait “difficile” la surveillance des internautes. On sait aussi désormais que la Hadopi, en poussant les internautes à se protéger et à recourir à la cryptographie, embête aussi les services antiterroristes de la DGSE et de la DCRI."