Bis repetita
Extrait d'une tribune de Jean-Pierre Dubois, président de la LDH, publiée dans Libération le 15 janvier 2008 :
"J’accuse ceux qui ont proposé, voté et fait voter ces lois inhumaines de persécuter des innocents pour le plus grand profit de mafieux, de marchands de sommeil et de travail au noir, et pour la plus grande honte des citoyens attachés à la liberté, à l’égalité et à la fraternité. J’accuse ceux qui, semaine après semaine, exigent plus d’arrestations, plus d’expulsions, plus d’exils d’être la cause de souffrances innombrables, voire trop souvent de la mort d’humains qui ne sont coupables que de fuir la terreur ou la misère, de vouloir vivre le plus dignement possible et de rêver, pour leurs enfants, d’un avenir meilleur.
J’accuse ceux qui, par calcul ou lâcheté, détournent les yeux, se bouchent les oreilles et se tiennent à l’écart de la solidarité humaine avec les sans-papiers, les sans-asile, les sans-droits, de contribuer par leur passivité et leur silence à un repli xénophobe qui, dans les manuels d’histoire de demain, restera comme une tache sur le livre de la République."
Sur le blog du Contre-Journal :
"L’arrivée de Nicolas Sarkozy à la présidence a restreint pour les journalistes l’accès aux conseillers et aux ministres juge Axel Krause, secrétaire général de l'association de la presse anglo-américaine à Paris, journaliste au Transatlantic Magazine. « C’est une stratégie de communication qui vise à contrôler l’accès aux sources » analyse-t-il. [...] Sa stratégie privilégie la communication plutôt que l’information, avec la complicité des médias français. [...] Par ailleurs, la proximité de l’actuel président avec l’actionnariat de certains médias pèse son poids. Un contrôle s’exerce. J’ai été interviewé au sujet de la conférence de presse par une télévision: ils n’ont gardé que les aspects positifs de ma déclaration."
Extrait d'une tribune de Jean-Pierre Dubois, président de la LDH, publiée dans Libération le 15 janvier 2008 :
"J’accuse ceux qui ont proposé, voté et fait voter ces lois inhumaines de persécuter des innocents pour le plus grand profit de mafieux, de marchands de sommeil et de travail au noir, et pour la plus grande honte des citoyens attachés à la liberté, à l’égalité et à la fraternité. J’accuse ceux qui, semaine après semaine, exigent plus d’arrestations, plus d’expulsions, plus d’exils d’être la cause de souffrances innombrables, voire trop souvent de la mort d’humains qui ne sont coupables que de fuir la terreur ou la misère, de vouloir vivre le plus dignement possible et de rêver, pour leurs enfants, d’un avenir meilleur.
J’accuse ceux qui, par calcul ou lâcheté, détournent les yeux, se bouchent les oreilles et se tiennent à l’écart de la solidarité humaine avec les sans-papiers, les sans-asile, les sans-droits, de contribuer par leur passivité et leur silence à un repli xénophobe qui, dans les manuels d’histoire de demain, restera comme une tache sur le livre de la République."
Sur le blog du Contre-Journal :
"L’arrivée de Nicolas Sarkozy à la présidence a restreint pour les journalistes l’accès aux conseillers et aux ministres juge Axel Krause, secrétaire général de l'association de la presse anglo-américaine à Paris, journaliste au Transatlantic Magazine. « C’est une stratégie de communication qui vise à contrôler l’accès aux sources » analyse-t-il. [...] Sa stratégie privilégie la communication plutôt que l’information, avec la complicité des médias français. [...] Par ailleurs, la proximité de l’actuel président avec l’actionnariat de certains médias pèse son poids. Un contrôle s’exerce. J’ai été interviewé au sujet de la conférence de presse par une télévision: ils n’ont gardé que les aspects positifs de ma déclaration."