Sur le site de la cellule Françafrique :
"Depuis son arrivée à l’Elysée, Sarkozy s’est littéralement mû en VRP d’Areva. Du Maroc aux Emirats arabes unis en passant par Pékin, Areva et sa présidente Anne Lauvergeon ont été de tous les voyages. Lauréate 2008 du César de la honte, [...] Première entreprise française à accéder au panthéon de la honte, le fleuron de l’industrie hexagonale peut se féliciter d’être : "l’auteur de nombreux agissements irresponsables, particulièrement par sa filiale Cogema, qui exploite deux mines d’uranium dans le nord du Niger. Des analyses démontrent que les limites fixées par l’OMS pour la radioactivité dans l’air et l’eau sont largement dépassées dans ces zones. De plus, les travailleurs des mines demeurent insuffisamment informés sur les risques de santé liés à l’extraction de l’uranium. Plus regrettable encore, les hôpitaux de l’entreprise pratiquent régulièrement de faux diagnostics sur les employés pour ne pas avoir à supporter les frais de traitements.
Ajoutons que l’exploitation de l’uranium par Areva ressemble à du pillage organisé : jusqu’à mi-2007, pendant que le kilo d’uranium s’arrache sur le marché international à environ 100.000 F CFA, la France oblige le Niger à le lui céder à …23.700 F CFA. 47 ans d’indépendance n’ont manifestement pas mis fin au lien de domination."
"Depuis son arrivée à l’Elysée, Sarkozy s’est littéralement mû en VRP d’Areva. Du Maroc aux Emirats arabes unis en passant par Pékin, Areva et sa présidente Anne Lauvergeon ont été de tous les voyages. Lauréate 2008 du César de la honte, [...] Première entreprise française à accéder au panthéon de la honte, le fleuron de l’industrie hexagonale peut se féliciter d’être : "l’auteur de nombreux agissements irresponsables, particulièrement par sa filiale Cogema, qui exploite deux mines d’uranium dans le nord du Niger. Des analyses démontrent que les limites fixées par l’OMS pour la radioactivité dans l’air et l’eau sont largement dépassées dans ces zones. De plus, les travailleurs des mines demeurent insuffisamment informés sur les risques de santé liés à l’extraction de l’uranium. Plus regrettable encore, les hôpitaux de l’entreprise pratiquent régulièrement de faux diagnostics sur les employés pour ne pas avoir à supporter les frais de traitements.
Ajoutons que l’exploitation de l’uranium par Areva ressemble à du pillage organisé : jusqu’à mi-2007, pendant que le kilo d’uranium s’arrache sur le marché international à environ 100.000 F CFA, la France oblige le Niger à le lui céder à …23.700 F CFA. 47 ans d’indépendance n’ont manifestement pas mis fin au lien de domination."