C'est moi ou... ?
L'Observatoire des inégalités, le 25 mars 2009 :
"Les dirigeants de sociétés anonymes ont perçu un salaire annuel de 79 200 euros en 2006. Par rapport à 1998, celui-ci a augmenté de 27,5 % après inflation, soit 17 000 euros ou 1 400 euros par mois, l’équivalent du salaire annuel d’un ouvrier. Et encore, cette hausse ne prend pas en compte d’autres éléments de rémunération (primes, intéressement, participation, etc.) ou certaines aides en nature (du portable à la voiture de fonction). La progression des revenus est donc sous-estimée."
Dans cet autre article :
"La moitié des salariés à temps plein touchent un salaire net inférieur à 1 555 euros mensuels et 90 % moins de 3 084 euros. Si l’on prend les 40 % des salariés du milieu de la répartition (au-dessus des 30 % les moins bien payés et au-dessous des 30 % les mieux payés), on obtient des salaires nets compris entre 1 300 et 1 900 euros pour des temps complets. C’est à ce niveau que se situent les "classes moyennes" du point de vue des salaires. [...] il s’agit de données pour des temps pleins, dans le secteur privé. Si l’on intègre les salaires à temps partiel et les indemnités chômage, les revenus perçus par les actifs salariés sont très inférieurs."
L'Observatoire des inégalités, le 25 mars 2009 :
"Les dirigeants de sociétés anonymes ont perçu un salaire annuel de 79 200 euros en 2006. Par rapport à 1998, celui-ci a augmenté de 27,5 % après inflation, soit 17 000 euros ou 1 400 euros par mois, l’équivalent du salaire annuel d’un ouvrier. Et encore, cette hausse ne prend pas en compte d’autres éléments de rémunération (primes, intéressement, participation, etc.) ou certaines aides en nature (du portable à la voiture de fonction). La progression des revenus est donc sous-estimée."
Dans cet autre article :
"La moitié des salariés à temps plein touchent un salaire net inférieur à 1 555 euros mensuels et 90 % moins de 3 084 euros. Si l’on prend les 40 % des salariés du milieu de la répartition (au-dessus des 30 % les moins bien payés et au-dessous des 30 % les mieux payés), on obtient des salaires nets compris entre 1 300 et 1 900 euros pour des temps complets. C’est à ce niveau que se situent les "classes moyennes" du point de vue des salaires. [...] il s’agit de données pour des temps pleins, dans le secteur privé. Si l’on intègre les salaires à temps partiel et les indemnités chômage, les revenus perçus par les actifs salariés sont très inférieurs."