Eh, je suis là ! Je suis là !
Sur le site des Actualités de la Recherche en histoire visuelle, le 3 avril 2009 :
"l'arrivée d'Obama ôte à peu près tout espace à Nicolas Sarkozy sur la scène internationale. Ce qui le met évidemment dans tous ses états. Avant-hier, le voilà obligé de menacer de claquer la porte du G20 pour qu'on s'aperçoive de sa présence. Aujourd'hui, à Strasbourg, il faisait pitié à force de vouloir être sur la photo – rappelant la blague du type à côté du pape. Plus difficile à dire qu'à faire. Même les journalistes ne marchent plus dans la combine. Et à côté d'Obama, peine perdue, ses sourires sont autant de grimaces.
Notre président fait tout à l'envers. Comme une lavandière, il croit que ce qui compte, c'est d'être à la une. Mais pour un personnage politique, figurer en couverture résulte de l'action qu'on mène ou de l'image dont on dispose. Quand plus personne ne vous fait crédit, apparaître sur la photo suscite plutôt la gêne ou le sarcasme."
Sur le site des Actualités de la Recherche en histoire visuelle, le 3 avril 2009 :
"l'arrivée d'Obama ôte à peu près tout espace à Nicolas Sarkozy sur la scène internationale. Ce qui le met évidemment dans tous ses états. Avant-hier, le voilà obligé de menacer de claquer la porte du G20 pour qu'on s'aperçoive de sa présence. Aujourd'hui, à Strasbourg, il faisait pitié à force de vouloir être sur la photo – rappelant la blague du type à côté du pape. Plus difficile à dire qu'à faire. Même les journalistes ne marchent plus dans la combine. Et à côté d'Obama, peine perdue, ses sourires sont autant de grimaces.
Notre président fait tout à l'envers. Comme une lavandière, il croit que ce qui compte, c'est d'être à la une. Mais pour un personnage politique, figurer en couverture résulte de l'action qu'on mène ou de l'image dont on dispose. Quand plus personne ne vous fait crédit, apparaître sur la photo suscite plutôt la gêne ou le sarcasme."