Bis repetita
Un blog du Figaro, le 26 novembre 2009 :
"Si Christine Lagarde n'existait pas, il faudrait l'inventer. [...] La preuve : que le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A - la seule qu'elle connaisse - augmente de 21600 en septembre ou de 52400 en octobre - soit une multiplication par deux et demi tout de même -, Christine Lagarde fait exactement les mêmes commentaires.
[...]
Ainsi fin octobre, concernant les chiffres du mois de septembre, la ministre a pris "note de cette hausse du nombre de demandeurs d'emploi qui confirme que les effets de la crise sur le marché du travail se poursuivent". Après avoir constaté "que la dégradation de l'emploi a ralenti significativement depuis le début de l'année, en particulier pour les jeunes", elle indiquait alors que "les mesures prises par les pouvoirs publics depuis plusieurs mois portent leurs fruits". Elle rappelait enfin "que la situation du marché du travail reste difficile". Mieux, que "la tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre plsuieurs trimestres, car même une reprise graduelle de l'activité ne se traduira pas par un repli immédiat du chômage."
[...] le mois suivant, rebelote, la ministre remet ça. Dans son communiqué envoyé ce jeudi 26 novembre au soir, Christine Lagarde "prend note de cette augmentation qui fait suite à cinq mois de hausse plus contenue et reflète la poursuite des effets de la crise sur le marché du travail". Tiens, un air de déjà lu. Continuons. Ensuite, la ministre "considère que l'influence sur l'emploi des mesures décidées par le gouvernement va continuer à monter en puissance". Toujours cette terrible impression de déjà-lu... Enfin passons. Pour conclure, elle rappelle "que la situation du marché du travail reste difficile" et que "la tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre plusieurs trimestres, car une reprise graduelle de l'activité ne se traduirait pas par un repli immédiat du chômage.""
Un blog du Figaro, le 26 novembre 2009 :
"Si Christine Lagarde n'existait pas, il faudrait l'inventer. [...] La preuve : que le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A - la seule qu'elle connaisse - augmente de 21600 en septembre ou de 52400 en octobre - soit une multiplication par deux et demi tout de même -, Christine Lagarde fait exactement les mêmes commentaires.
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Ainsi fin octobre, concernant les chiffres du mois de septembre, la ministre a pris "note de cette hausse du nombre de demandeurs d'emploi qui confirme que les effets de la crise sur le marché du travail se poursuivent". Après avoir constaté "que la dégradation de l'emploi a ralenti significativement depuis le début de l'année, en particulier pour les jeunes", elle indiquait alors que "les mesures prises par les pouvoirs publics depuis plusieurs mois portent leurs fruits". Elle rappelait enfin "que la situation du marché du travail reste difficile". Mieux, que "la tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre plsuieurs trimestres, car même une reprise graduelle de l'activité ne se traduira pas par un repli immédiat du chômage."
[...] le mois suivant, rebelote, la ministre remet ça. Dans son communiqué envoyé ce jeudi 26 novembre au soir, Christine Lagarde "prend note de cette augmentation qui fait suite à cinq mois de hausse plus contenue et reflète la poursuite des effets de la crise sur le marché du travail". Tiens, un air de déjà lu. Continuons. Ensuite, la ministre "considère que l'influence sur l'emploi des mesures décidées par le gouvernement va continuer à monter en puissance". Toujours cette terrible impression de déjà-lu... Enfin passons. Pour conclure, elle rappelle "que la situation du marché du travail reste difficile" et que "la tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre plusieurs trimestres, car une reprise graduelle de l'activité ne se traduirait pas par un repli immédiat du chômage.""