Délits de sale sexe
Libération, le 21 avril 2011 :
"Refus d’enregistrement des plaintes, classements sans suite, médiations pénales ou peines inefficaces, la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF) dénonce dans un livre blanc les difficultés judiciaires rencontrées par les femmes victimes de la violence de leur conjoint. Une semaine après le lancement par le gouvernement du plan de lutte contre les violences faites aux femmes 2011-2013, la FNSF entend démontrer que le système judiciaire français est encore «insatisfaisant» en matière de violences conjugales. Les auteurs du livre reviennent par exemple sur le parcours de Monique. Entre 2002 et 2009, elle n’en finit plus de déposer des mains courantes à l’encontre de son mari violent, 36 au total. Aujourd’hui, l’homme, libre, continue de l’intimider, ainsi que ses enfants. Pourquoi n’a-t-elle pas porté plainte ? La FNSF explique qu’«il est fréquent que les policiers refusent d’enregistrer des plaintes, car elles entrent dans le calcul des chiffres de la délinquance, alors que les mains courantes ne figurent dans aucune statistique»."
Libération, le 21 avril 2011 :
"Refus d’enregistrement des plaintes, classements sans suite, médiations pénales ou peines inefficaces, la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF) dénonce dans un livre blanc les difficultés judiciaires rencontrées par les femmes victimes de la violence de leur conjoint. Une semaine après le lancement par le gouvernement du plan de lutte contre les violences faites aux femmes 2011-2013, la FNSF entend démontrer que le système judiciaire français est encore «insatisfaisant» en matière de violences conjugales. Les auteurs du livre reviennent par exemple sur le parcours de Monique. Entre 2002 et 2009, elle n’en finit plus de déposer des mains courantes à l’encontre de son mari violent, 36 au total. Aujourd’hui, l’homme, libre, continue de l’intimider, ainsi que ses enfants. Pourquoi n’a-t-elle pas porté plainte ? La FNSF explique qu’«il est fréquent que les policiers refusent d’enregistrer des plaintes, car elles entrent dans le calcul des chiffres de la délinquance, alors que les mains courantes ne figurent dans aucune statistique»."