Une conclusion brillante
Le Figaro, 1er avril 2011 :
"Il aurait certainement souhaité meilleur calendrier. En pleine catastrophe nucléaire au Japon, la responsabilité du Pr Pierre Pellerin dans la gestion qu'eut la France des retombées du nuage de Tchernobyl voilà vingt-cinq ans, est étudiée par la justice. [...] celui qui était alors le directeur du Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), est accusé d'avoir minimisé l'impact des retombées radioactives sur la France et des risques encourus par la population.[...] Le parquet général qui requiert un non-lieu estime, que, à ce jour, l'accident de Tchernobyl du 26 avril 1986 n'a pas eu de conséquences sanitaires mesurables en France. À l'issue de l'audience, même l'avocat des parties civiles, Me Bernard Fau, pronostiquait la fin prochaine de l'enquête."
Le Figaro, 1er avril 2011 :
"Il aurait certainement souhaité meilleur calendrier. En pleine catastrophe nucléaire au Japon, la responsabilité du Pr Pierre Pellerin dans la gestion qu'eut la France des retombées du nuage de Tchernobyl voilà vingt-cinq ans, est étudiée par la justice. [...] celui qui était alors le directeur du Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), est accusé d'avoir minimisé l'impact des retombées radioactives sur la France et des risques encourus par la population.[...] Le parquet général qui requiert un non-lieu estime, que, à ce jour, l'accident de Tchernobyl du 26 avril 1986 n'a pas eu de conséquences sanitaires mesurables en France. À l'issue de l'audience, même l'avocat des parties civiles, Me Bernard Fau, pronostiquait la fin prochaine de l'enquête."