Films pirates
Bug Brother, le 29 avril 2011 :
"Combien y a-t-il de caméras de vidéosurveillance en France ? On ne sait pas. Combien sont déclarées ? On ne sait pas. Combien, dès lors, sont illégales ? On ne sait pas. Le ministère de l’intérieur, lui, le sait. Mais ne communique jamais à ce sujet.
En 2001, pour ma toute première enquête sur la vidéosurveillance, j’avais découvert, quelque peu effaré, que les 3/4 des systèmes de vidéosurveillance étaient illégaux. L’information émanait d’un certain Alain Bauer, qui n’était pas encore le monsieur insécurité de Nicolas Sarkozy, mais un simple “spécialiste des problèmes de sécurité urbaine, pourvoyeur de diagnostics rémunérés pour villes en manque de tranquillité, et qui avait alors déclaré :
On estime à 150 000 le nombre de systèmes installés dans des lieux ouverts au public, mais seuls 40 000 ont été déclarés. Tous les autres sont donc illégaux."
Bug Brother, le 29 avril 2011 :
"Combien y a-t-il de caméras de vidéosurveillance en France ? On ne sait pas. Combien sont déclarées ? On ne sait pas. Combien, dès lors, sont illégales ? On ne sait pas. Le ministère de l’intérieur, lui, le sait. Mais ne communique jamais à ce sujet.
En 2001, pour ma toute première enquête sur la vidéosurveillance, j’avais découvert, quelque peu effaré, que les 3/4 des systèmes de vidéosurveillance étaient illégaux. L’information émanait d’un certain Alain Bauer, qui n’était pas encore le monsieur insécurité de Nicolas Sarkozy, mais un simple “spécialiste des problèmes de sécurité urbaine, pourvoyeur de diagnostics rémunérés pour villes en manque de tranquillité, et qui avait alors déclaré :
On estime à 150 000 le nombre de systèmes installés dans des lieux ouverts au public, mais seuls 40 000 ont été déclarés. Tous les autres sont donc illégaux."