Ma petite entreprise
Cricri Lagarde, le 10 juillet 2007 :
"J’entends dire parfois, à propos du travail et de la concurrence qu’il engendre : « c’est guerre de tous contre tous ». Voilà un véritable contresens. Car à la guerre, le plus fort soumet le plus faible, tandis que dans des rapports de travail, le plus fort communique de la force au plus faible." (son emphase)
Le Monde, 3 décembre 2007 :
"Comme le résume un médecin du travail qui souhaite rester anonyme, "les employeurs considèrent que, s'ils nous paient, ce n'est pas pour qu'on leur crée des embêtements". [...] Autre classique ? Les plaintes déposées au conseil de l'ordre des médecins. C'est ce qui est arrivé à Isabelle Lagny : "Une entreprise n'était pas contente des avis d'"inaptitude à tout poste" que j'avais délivrés. Après avoir instruit le dossier, l'Ordre m'a donné raison. Mais c'est déstabilisant d'être ainsi remise en cause professionnellement." Lasse des pressions exercées par sa direction, cette médecin du travail a démissionné."
Et dans cet autre article :
""une bonne partie des médecins ne veut pas se créer de problèmes avec des employeurs, bien que leur statut les protège, ajoute Philippe Davezies, enseignant-chercheur en médecine et santé au travail à l'université Lyon-I. Or affronter l'employeur, c'est le coeur de l'activité du médecin du travail"
Cricri Lagarde, le 10 juillet 2007 :
"J’entends dire parfois, à propos du travail et de la concurrence qu’il engendre : « c’est guerre de tous contre tous ». Voilà un véritable contresens. Car à la guerre, le plus fort soumet le plus faible, tandis que dans des rapports de travail, le plus fort communique de la force au plus faible." (son emphase)
Le Monde, 3 décembre 2007 :
"Comme le résume un médecin du travail qui souhaite rester anonyme, "les employeurs considèrent que, s'ils nous paient, ce n'est pas pour qu'on leur crée des embêtements". [...] Autre classique ? Les plaintes déposées au conseil de l'ordre des médecins. C'est ce qui est arrivé à Isabelle Lagny : "Une entreprise n'était pas contente des avis d'"inaptitude à tout poste" que j'avais délivrés. Après avoir instruit le dossier, l'Ordre m'a donné raison. Mais c'est déstabilisant d'être ainsi remise en cause professionnellement." Lasse des pressions exercées par sa direction, cette médecin du travail a démissionné."
Et dans cet autre article :
""une bonne partie des médecins ne veut pas se créer de problèmes avec des employeurs, bien que leur statut les protège, ajoute Philippe Davezies, enseignant-chercheur en médecine et santé au travail à l'université Lyon-I. Or affronter l'employeur, c'est le coeur de l'activité du médecin du travail"