Home sweet home
Le Figaro, 11 décembre 2007 :
"D’après une étude du Credoc qui a confronté la situation des 60 % de ménages se situant entre les 20 % de riches et les 20 % de bas revenus, la situation des plus nombreux s’est rapprochée de celle des ménages touchant les plus bas revenus au cours de ces vingt-cinq dernières années. Dans le même temps, la situation des Français touchant les plus hauts revenus s’est améliorée. [...] «Depuis le milieu des années 1990, il est beaucoup plus difficile pour ces deux catégories de devenir propriétaire», explique Régis Bigot, directeur adjoint du département Conditions de vie et aspirations des Français . Ce qui n’est plus vrai pour les hauts revenus dont la proportion de propriétaires est passée de 65 % au début des années 1990 à 70 % aujourd’hui. [...] 76 % des bas revenus et 69 % des classes moyennes affirment s’être régulièrement imposé des restrictions sur des postes de leur budget, contre seulement 37 % des hauts revenus. [...] Face à ces résultats, c’est presque sans surprise que l’on observe un désir unanime de changer la société en profondeur." (mon emphase)
Le Figaro, 11 décembre 2007 :
"D’après une étude du Credoc qui a confronté la situation des 60 % de ménages se situant entre les 20 % de riches et les 20 % de bas revenus, la situation des plus nombreux s’est rapprochée de celle des ménages touchant les plus bas revenus au cours de ces vingt-cinq dernières années. Dans le même temps, la situation des Français touchant les plus hauts revenus s’est améliorée. [...] «Depuis le milieu des années 1990, il est beaucoup plus difficile pour ces deux catégories de devenir propriétaire», explique Régis Bigot, directeur adjoint du département Conditions de vie et aspirations des Français . Ce qui n’est plus vrai pour les hauts revenus dont la proportion de propriétaires est passée de 65 % au début des années 1990 à 70 % aujourd’hui. [...] 76 % des bas revenus et 69 % des classes moyennes affirment s’être régulièrement imposé des restrictions sur des postes de leur budget, contre seulement 37 % des hauts revenus. [...] Face à ces résultats, c’est presque sans surprise que l’on observe un désir unanime de changer la société en profondeur." (mon emphase)