Tant va la cruche à l'homme
Le Figaro, 4 juin 2008 :
"Carla Bruni [....] parle de sa relation avec le [petit Nicolas] [...] son admiration reste intacte : «C'est inimaginable ce qu'il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique.» [...] Pour son avenir, Carla Bruni se fixe deux priorités : «agir globalement sur la pauvreté dans le monde et lutter contre l'ignorance»"
Christophe Deltombe, président d'Emmaüs France dans le Monde, le 4 juin 2008 :
"Grèves de la faim, automutilations, suicides, dépressions, combien sont-ils, ces étrangers sans papiers, en France parfois depuis plusieurs années, ayant un emploi, une famille, des enfants, payant des impôts, qui se trouvent brutalement placés en centres de rétention, c'est-à-dire privés de liberté, sans procès et sans l'intervention d'un juge ? [...] L'absurdité a été poussée à son comble avec cette politique des quotas de 25 000 reconduites à la frontière par an, politique du chiffre alors qu'il s'agit d'hommes, de femmes et d'enfants, politique aveugle qui broie des vies, sépare des familles, emprisonne sans autre délit que d'avoir voulu vivre normalement dans un pays riche. "
Carla n'oublie pas d'ajouter "Je n'ai pas connu de crétins auparavant". Trouve un miroir chérie.
Le Figaro, 4 juin 2008 :
"Carla Bruni [....] parle de sa relation avec le [petit Nicolas] [...] son admiration reste intacte : «C'est inimaginable ce qu'il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique.» [...] Pour son avenir, Carla Bruni se fixe deux priorités : «agir globalement sur la pauvreté dans le monde et lutter contre l'ignorance»"
Christophe Deltombe, président d'Emmaüs France dans le Monde, le 4 juin 2008 :
"Grèves de la faim, automutilations, suicides, dépressions, combien sont-ils, ces étrangers sans papiers, en France parfois depuis plusieurs années, ayant un emploi, une famille, des enfants, payant des impôts, qui se trouvent brutalement placés en centres de rétention, c'est-à-dire privés de liberté, sans procès et sans l'intervention d'un juge ? [...] L'absurdité a été poussée à son comble avec cette politique des quotas de 25 000 reconduites à la frontière par an, politique du chiffre alors qu'il s'agit d'hommes, de femmes et d'enfants, politique aveugle qui broie des vies, sépare des familles, emprisonne sans autre délit que d'avoir voulu vivre normalement dans un pays riche. "
Carla n'oublie pas d'ajouter "Je n'ai pas connu de crétins auparavant". Trouve un miroir chérie.