Analphabète
L'abécédaire de Nicolas Sarkozy, rubrique éducation :
"Contre l’héritage de mai 68, contre le refus de toute autorité, contre le relativisme culturel et moral, contre le nivellement par le bas, contre la dévalorisation des diplômes, contre l’inculture, il n’y a pas d’autre choix que l'excellence."
Site du Nouvel Obs, le 27 mai 2009 :
"Dans l'avion qui l'emporte vers les Emirats Arabes Unis, le président de la République s'essaie à son nouveau rôle de composition : défenseur des arts et des lettres. Il parle littérature. Il dit sa passion pour les «Rougon-Macquart» de Zola ; un sublime effort de communication. Hélas, c'est le crash, la débâcle, l'assommoir : car le chef de l'Etat prononce «Roujon-Macquart». Dans le cycle scolaire français, on apprend au cours élémentaire que devant les voyelles a, o et u, la consonne g doit être suivie de la voyelle e pour être prononcée [G], car autrement elle se prononce [g]."
L'abécédaire de Nicolas Sarkozy, rubrique éducation :
"Contre l’héritage de mai 68, contre le refus de toute autorité, contre le relativisme culturel et moral, contre le nivellement par le bas, contre la dévalorisation des diplômes, contre l’inculture, il n’y a pas d’autre choix que l'excellence."
Site du Nouvel Obs, le 27 mai 2009 :
"Dans l'avion qui l'emporte vers les Emirats Arabes Unis, le président de la République s'essaie à son nouveau rôle de composition : défenseur des arts et des lettres. Il parle littérature. Il dit sa passion pour les «Rougon-Macquart» de Zola ; un sublime effort de communication. Hélas, c'est le crash, la débâcle, l'assommoir : car le chef de l'Etat prononce «Roujon-Macquart». Dans le cycle scolaire français, on apprend au cours élémentaire que devant les voyelles a, o et u, la consonne g doit être suivie de la voyelle e pour être prononcée [G], car autrement elle se prononce [g]."