Au revoir les classes moyennes...
L'Observatoire des inégalités, le 16 décembre 2009 :
"Les 10 % les plus pauvres reçoivent 3,7 % de l’ensemble, alors que les 10 % les plus riches disposent de 24,1 %. [...] Au total, les 40 % les plus démunis ne reçoivent que 22 % de l’ensemble des revenus.
Entre 1997 et 2007, les parts sont demeurées assez stables. Les plus démunis ont légèrement amélioré leur sort, de 3,3 à 3,7 % de l’ensemble, notamment parce que les 35 heures ont entrainé une forte hausse du Smic. Les plus aisés ont eux aussi connu une évolution favorable, de 23,4 à 24,1 %, notamment du fait des diminutions d’impôts. Les perdants sont les couches moyennes, qui ne bénéficient que très peu des baisses d’impôts et des prestations sous conditions de ressources."
L'Observatoire des inégalités, le 16 décembre 2009 :
"Les 10 % les plus pauvres reçoivent 3,7 % de l’ensemble, alors que les 10 % les plus riches disposent de 24,1 %. [...] Au total, les 40 % les plus démunis ne reçoivent que 22 % de l’ensemble des revenus.
Entre 1997 et 2007, les parts sont demeurées assez stables. Les plus démunis ont légèrement amélioré leur sort, de 3,3 à 3,7 % de l’ensemble, notamment parce que les 35 heures ont entrainé une forte hausse du Smic. Les plus aisés ont eux aussi connu une évolution favorable, de 23,4 à 24,1 %, notamment du fait des diminutions d’impôts. Les perdants sont les couches moyennes, qui ne bénéficient que très peu des baisses d’impôts et des prestations sous conditions de ressources."