El Commandante visite la population
Le blog Développements du Photographe Sébastien Calvet, le 5 novembre 2010 :
"Je me retrouve à Troyes pour un déplacement de Nicolas Sarkozy [...] e quartier à été totalement verrouillé. Plus personne dans les rues, plus personne aux fenêtres. Seuls une centaine de badauds sélectionnés se tiennent sagement derrière des barrières disposées sur la place. [...] En attendant l’arrivée du président, je photographie les acteurs de l’acclamation à venir. Hommes sûr d’eux, femmes pomponnées et manteaux de fourrures. [...] Derrière eux, des policiers en civils se dispersent. Ils essaient d’être discrets, de se fondre dans la masse… Mais comme il n’y a pas de masse, on ne voit qu’eux. Ils s’écartent lorsque je fais des photos. Ils ont tous des radios plus ou moins dissimulées. Au coin de la rue, des pigeons se ruent sur quelques graines tombées là. Un policier dit : «on dégagera les pigeons avant qu’il arrive... » Je ne peux retenir un rire, pensant à un bon mot du pandore. Lorsque je le regarde, je constate qu’il n’en est rien. Son collègue se tient prêt à intervenir sur les pauvres oiseaux urbains."
Le blog Développements du Photographe Sébastien Calvet, le 5 novembre 2010 :
"Je me retrouve à Troyes pour un déplacement de Nicolas Sarkozy [...] e quartier à été totalement verrouillé. Plus personne dans les rues, plus personne aux fenêtres. Seuls une centaine de badauds sélectionnés se tiennent sagement derrière des barrières disposées sur la place. [...] En attendant l’arrivée du président, je photographie les acteurs de l’acclamation à venir. Hommes sûr d’eux, femmes pomponnées et manteaux de fourrures. [...] Derrière eux, des policiers en civils se dispersent. Ils essaient d’être discrets, de se fondre dans la masse… Mais comme il n’y a pas de masse, on ne voit qu’eux. Ils s’écartent lorsque je fais des photos. Ils ont tous des radios plus ou moins dissimulées. Au coin de la rue, des pigeons se ruent sur quelques graines tombées là. Un policier dit : «on dégagera les pigeons avant qu’il arrive... » Je ne peux retenir un rire, pensant à un bon mot du pandore. Lorsque je le regarde, je constate qu’il n’en est rien. Son collègue se tient prêt à intervenir sur les pauvres oiseaux urbains."