Requiem
Maitre Eolas, le 11 novembre 2010 :
"Une pensée pour les poilus, tous disparus, et une particulière au dernier d’entre eux, qui fut un immigré qui se battit pour la France sans en avoir la nationalité (il ne l’eut qu’en 1939).
Il mentit même sur son âge pour pouvoir s’engager.
Ces immigrés, tous des fraudeurs."
Maitre Eolas, le 11 novembre 2010 :
"Une pensée pour les poilus, tous disparus, et une particulière au dernier d’entre eux, qui fut un immigré qui se battit pour la France sans en avoir la nationalité (il ne l’eut qu’en 1939).
Il mentit même sur son âge pour pouvoir s’engager.
Ces immigrés, tous des fraudeurs."