L'UMP garantie sans OGM
Libération, le 15 mai 2008 :
"Mais où étaient les députés UMP une seconde avant l’«accident» sur le texte OGM ? Sur les 321 membres du groupe majoritaire, 85 étaient présents mardi à 17 h 45 dans l’hémicycle lors du vote sur la question de procédure communiste. Et les autres ? Quelques-uns boudaient ostensiblement ou sont sortis pour signifier leur hostilité au texte. Comme François Grosdidier (Moselle) qui a «refusé délibérément de prendre part au vote». Lionel Tardy (Haute-Savoie) se réservait, lui, pour la discussion générale où il devait annoncer qu’il votait… contre le texte. [...] Le député-maire de Maisons-Laffitte, Jacques Myard, travaillait dans son bureau : «Je n’ai pas de problème avec ce texte, mais je n’ai pas entendu la sonnette pour le vote»."
Puis dans cet autre article :
"Pour Arnaud Apoteker, chargé de campagne OGM à Greenpeace France, «c'est affligeant. On n'imaginait pas que le gouvernement ose représenter un texte qui venait d'être rejeté par les députés ! Ce qui se passe depuis le début du débat sur les OGM reflète un malaise profond, estime-t-il. Plutôt que de parler du fond, on se livre à des jeux politiciens, d'un côté comme de l'autre.»"
Libération, le 15 mai 2008 :
"Mais où étaient les députés UMP une seconde avant l’«accident» sur le texte OGM ? Sur les 321 membres du groupe majoritaire, 85 étaient présents mardi à 17 h 45 dans l’hémicycle lors du vote sur la question de procédure communiste. Et les autres ? Quelques-uns boudaient ostensiblement ou sont sortis pour signifier leur hostilité au texte. Comme François Grosdidier (Moselle) qui a «refusé délibérément de prendre part au vote». Lionel Tardy (Haute-Savoie) se réservait, lui, pour la discussion générale où il devait annoncer qu’il votait… contre le texte. [...] Le député-maire de Maisons-Laffitte, Jacques Myard, travaillait dans son bureau : «Je n’ai pas de problème avec ce texte, mais je n’ai pas entendu la sonnette pour le vote»."
Puis dans cet autre article :
"Pour Arnaud Apoteker, chargé de campagne OGM à Greenpeace France, «c'est affligeant. On n'imaginait pas que le gouvernement ose représenter un texte qui venait d'être rejeté par les députés ! Ce qui se passe depuis le début du débat sur les OGM reflète un malaise profond, estime-t-il. Plutôt que de parler du fond, on se livre à des jeux politiciens, d'un côté comme de l'autre.»"