Une autre info est possible (?)
Acrimed, le 2 août 2010, à lire dans sa totalité sur leur site, bien entendu :
"André Schiffrin vient de publier un nouvel essai - L’argent et les mots - à La Fabrique comme les deux précédents, L’édition sans éditeurs (1999) et Le contrôle de la parole (2005). Nous publions ci-dessous, avec l’autorisation de l’auteur et de l’éditeur, l’introduction de ce livre [...] Quel est donc l’avenir de ces secteurs d’activité dans un monde où règne le souci de la rentabilité ? Pour conserver des médias indépendants, pouvons-nous faire confiance au système traditionnel, celui de la propriété génératrice de profits ? Nous sommes dans une époque de transition, ce que personne ne veut admettre : dans la plupart des domaines de la culture, qu’il s’agisse de musique, de théâtre, de danse et même de cinéma, on admet dans la plupart des pays qu’il faut une aide publique et des structures à but non lucratif. Et aujourd’hui, nous sommes confrontés à un groupe de médias – l’édition et son système de distribution, les journaux, les agences de presse, les radios et télévisions – où les profits ne satisfont plus le secteur privé mais où aucun autre mode de fonctionnement n’est possible."
Acrimed, le 2 août 2010, à lire dans sa totalité sur leur site, bien entendu :
"André Schiffrin vient de publier un nouvel essai - L’argent et les mots - à La Fabrique comme les deux précédents, L’édition sans éditeurs (1999) et Le contrôle de la parole (2005). Nous publions ci-dessous, avec l’autorisation de l’auteur et de l’éditeur, l’introduction de ce livre [...] Quel est donc l’avenir de ces secteurs d’activité dans un monde où règne le souci de la rentabilité ? Pour conserver des médias indépendants, pouvons-nous faire confiance au système traditionnel, celui de la propriété génératrice de profits ? Nous sommes dans une époque de transition, ce que personne ne veut admettre : dans la plupart des domaines de la culture, qu’il s’agisse de musique, de théâtre, de danse et même de cinéma, on admet dans la plupart des pays qu’il faut une aide publique et des structures à but non lucratif. Et aujourd’hui, nous sommes confrontés à un groupe de médias – l’édition et son système de distribution, les journaux, les agences de presse, les radios et télévisions – où les profits ne satisfont plus le secteur privé mais où aucun autre mode de fonctionnement n’est possible."