Sous presse
Libération, le 1er juillet 2008 :
"C’était jeudi dernier sur le parvis de la mairie d’Issy-les-Moulineaux. Là, sous l’œil de la caméra d’Hervé Pozzo, Marie-Pierre Cassignard, journaliste à France 2, interroge André Santini en sa qualité de président du Syndicat des eaux d’Ile-de-France au sujet de surfacturations révêlées par le Canard enchaîné. Face aux questions, le secrétaire d’Etat à la Fonction publique s’emporte avant de lâcher : «Quand vous, à France Télévisions, vous aurez changé de statut, nous, on va bien rigoler.»"
Libération, le 1er juillet 2008 :
"Le contexte est le suivant: une maquilleuse et un technicien de France 3 s’affairent autour de Nicolas Sarkozy. On lui prépare les micros. Le Président salue le technicien. Pas de réponse. Nicolas Sarkozy secoue la tête, contrarié. «C’est une question d’éducation», lance-t-il d’abord, avec un clin d’œil. Puis, fini de rire: «Quand on est invité, on a le droit que les gens vous disent bonjour quand même, ou on n’est pas dans le service public. Ou chez les manifestants… C’est autre chose. C’est incroyable. Et grave.» Le Président termine sa leçon, et se montre cette fois menaçant: «Ça va changer...»"
Libération, le 1er juillet 2008 :
"C’était jeudi dernier sur le parvis de la mairie d’Issy-les-Moulineaux. Là, sous l’œil de la caméra d’Hervé Pozzo, Marie-Pierre Cassignard, journaliste à France 2, interroge André Santini en sa qualité de président du Syndicat des eaux d’Ile-de-France au sujet de surfacturations révêlées par le Canard enchaîné. Face aux questions, le secrétaire d’Etat à la Fonction publique s’emporte avant de lâcher : «Quand vous, à France Télévisions, vous aurez changé de statut, nous, on va bien rigoler.»"
Libération, le 1er juillet 2008 :
"Le contexte est le suivant: une maquilleuse et un technicien de France 3 s’affairent autour de Nicolas Sarkozy. On lui prépare les micros. Le Président salue le technicien. Pas de réponse. Nicolas Sarkozy secoue la tête, contrarié. «C’est une question d’éducation», lance-t-il d’abord, avec un clin d’œil. Puis, fini de rire: «Quand on est invité, on a le droit que les gens vous disent bonjour quand même, ou on n’est pas dans le service public. Ou chez les manifestants… C’est autre chose. C’est incroyable. Et grave.» Le Président termine sa leçon, et se montre cette fois menaçant: «Ça va changer...»"