Vieux cons
Le Figaro, 21 juillet 2008 :
"La Caisse nationale d'assurance-vieillesse (Cnav) publie un bilan peu glorieux de la réforme Fillon de 2003. [...] Ainsi, selon un résumé de la revue diffusé par la Cnav, la surcote (supplément de pension pour ceux qui continuent à travailler alors qu'ils ont «tous leurs trimestres») n'a guère atteint son objectif : 7,6 % des retraités de l'année 2007 en ont bénéficié. Leurs prédécesseurs de 2003 étaient déjà 7 % à continuer le travail, sans que cela leur rapporte un euro de pension en plus ! [...] À l'inverse, les dispositifs permettant de partir plus tôt sont plébiscités [...] La Cnav s'est aussi penchée sur les retombées de la réforme Balladur de 1993. [...] l'étude confirme noir sur blanc ce que FO ou la CGC affirment depuis longtemps. «Six retraités sur dix» ayant cessé le travail entre 1994 et 2003 «reçoivent une pension moins importante que celle à laquelle ils auraient pu prétendre sans la réforme»"
Un des objectifs de la réforme de 2003 était de "d'assurer un haut niveau de retraite en allongeant la durée d'activité et la durée de cotisations"
Nous sommes entre de bonnes mains...
Et au fait dans Les Echos, 21 juillet 2008 :
"La stabilité du taux de pauvreté ne doit pas occulter la progression globale du niveau de vie. [...] Mais ce mouvement s'est accompagné d'un nouveau creusement des inégalités : les 10 % les plus aisés de la population (au moins 33.190 euros par an) ont vu leur niveau de vie augmenter de 2,9 %, tandis que les 10 % les plus modestes ont dû se contenter d'une progression de 1,7 %."
Le Figaro, 21 juillet 2008 :
"La Caisse nationale d'assurance-vieillesse (Cnav) publie un bilan peu glorieux de la réforme Fillon de 2003. [...] Ainsi, selon un résumé de la revue diffusé par la Cnav, la surcote (supplément de pension pour ceux qui continuent à travailler alors qu'ils ont «tous leurs trimestres») n'a guère atteint son objectif : 7,6 % des retraités de l'année 2007 en ont bénéficié. Leurs prédécesseurs de 2003 étaient déjà 7 % à continuer le travail, sans que cela leur rapporte un euro de pension en plus ! [...] À l'inverse, les dispositifs permettant de partir plus tôt sont plébiscités [...] La Cnav s'est aussi penchée sur les retombées de la réforme Balladur de 1993. [...] l'étude confirme noir sur blanc ce que FO ou la CGC affirment depuis longtemps. «Six retraités sur dix» ayant cessé le travail entre 1994 et 2003 «reçoivent une pension moins importante que celle à laquelle ils auraient pu prétendre sans la réforme»"
Un des objectifs de la réforme de 2003 était de "d'assurer un haut niveau de retraite en allongeant la durée d'activité et la durée de cotisations"
Nous sommes entre de bonnes mains...
Et au fait dans Les Echos, 21 juillet 2008 :
"La stabilité du taux de pauvreté ne doit pas occulter la progression globale du niveau de vie. [...] Mais ce mouvement s'est accompagné d'un nouveau creusement des inégalités : les 10 % les plus aisés de la population (au moins 33.190 euros par an) ont vu leur niveau de vie augmenter de 2,9 %, tandis que les 10 % les plus modestes ont dû se contenter d'une progression de 1,7 %."