Dati partout, justice nulle part
Lu dans le Point, cet odieux brûlot trosko-gauchiste bien connu le 11 décembre 2008 :
"Ce lundi [20 octobre 2008], la ministre, qui avait invité les représentants des trois syndicats de surveillants de prison (Ufap, FO, CGT) à la rencontrer au ministère pour discuter doléances et conditions de travail, leur a fait faux bond. Prétextant d’un « agenda chargé » , Mme la ministre s’est fait excuser par son directeur de cabinet, préposé à la corvée. Il avait pourtant essayé de la convaincre de venir leur parler, ne serait-ce que quelques minutes. Faisant fi des risques d’une éventuelle épreuve de force, elle n’a rien voulu savoir, car, à côté, dans un autre salon lambrissé de la chancellerie, un petit déjeuner l’attendait avec le prince Albert de Monaco. [...] là où le bât blesse, c’est lorsque, mue par une sorte de mouvement perpétuel, elle exige, pour un oui, pour un non, d’emprunter les avions de l’Escadron de transport, d’entraînement et de calibration (Etec), l’unité de l’armée de l’air réservée au transport du chef de l’Etat et des membres du gouvernement. Les appareils aux couleurs de la République française ont de 8 à 12 places, mais voyagent pratiquement à vide, la ministre ne tolérant auprès d’elle que son chef de cabinet, qui tient l’agenda, et un chargé de communication. Or un vol de Villacoublay, la base aérienne de la flotte, revient en moyenne de 15 000 à 20 000 euros. « Rachida Dati ne regarde pas à la dépense » , fait-on remarquer dans les préfectures. [...] Lors de ses déplacements à l’étranger, y compris privés, comme ce fut le cas au Qatar-un endroit où, pour de mystérieuses raisons, Rachida Dati se rend régulièrement-, elle exige que l’ambassadeur l’accueille à sa descente d’avion, même à 2 heures du matin."
Merci à Etienne de m'avoir fait connaître cet article.
Lu dans le Point, cet odieux brûlot trosko-gauchiste bien connu le 11 décembre 2008 :
"Ce lundi [20 octobre 2008], la ministre, qui avait invité les représentants des trois syndicats de surveillants de prison (Ufap, FO, CGT) à la rencontrer au ministère pour discuter doléances et conditions de travail, leur a fait faux bond. Prétextant d’un « agenda chargé » , Mme la ministre s’est fait excuser par son directeur de cabinet, préposé à la corvée. Il avait pourtant essayé de la convaincre de venir leur parler, ne serait-ce que quelques minutes. Faisant fi des risques d’une éventuelle épreuve de force, elle n’a rien voulu savoir, car, à côté, dans un autre salon lambrissé de la chancellerie, un petit déjeuner l’attendait avec le prince Albert de Monaco. [...] là où le bât blesse, c’est lorsque, mue par une sorte de mouvement perpétuel, elle exige, pour un oui, pour un non, d’emprunter les avions de l’Escadron de transport, d’entraînement et de calibration (Etec), l’unité de l’armée de l’air réservée au transport du chef de l’Etat et des membres du gouvernement. Les appareils aux couleurs de la République française ont de 8 à 12 places, mais voyagent pratiquement à vide, la ministre ne tolérant auprès d’elle que son chef de cabinet, qui tient l’agenda, et un chargé de communication. Or un vol de Villacoublay, la base aérienne de la flotte, revient en moyenne de 15 000 à 20 000 euros. « Rachida Dati ne regarde pas à la dépense » , fait-on remarquer dans les préfectures. [...] Lors de ses déplacements à l’étranger, y compris privés, comme ce fut le cas au Qatar-un endroit où, pour de mystérieuses raisons, Rachida Dati se rend régulièrement-, elle exige que l’ambassadeur l’accueille à sa descente d’avion, même à 2 heures du matin."
Merci à Etienne de m'avoir fait connaître cet article.