Copinage, suite
Les Echos, le 23 février 2009 :
"Le sénateur Jean Arthuis (Union centriste) estime que "l'éventuelle nomination" de François Pérol à la tête de la banque issue de la fusion entre la Caisse d'Epargne et les Banques Populaires serait "choquante" [...] "Je ne crois pas que (le secrétaire général adjoint de l'Elysée) François Pérol puisse être nommé à la tête de cette nouvelle entité. Tout simplement parce que les règles déontologiques ne l'autorisent pas", déclare le président de la commission des Finances du Sénat. Et M. Arthuis d'expliquer que ces règles "proscrivent aux responsables d'une administration qui ont eu à connaître très directement d'un dossier d'être nommés à la tête de l'entreprise au coeur de ce dossier". "Or c'est le cas de François Pérol", rappelle-t-il.[...] l'ancien ministre des Finances précise que si cette nomination "avait tout de même lieu, ce serait extrêmement choquant"."
Les Echos, le 23 février 2009 :
"Le sénateur Jean Arthuis (Union centriste) estime que "l'éventuelle nomination" de François Pérol à la tête de la banque issue de la fusion entre la Caisse d'Epargne et les Banques Populaires serait "choquante" [...] "Je ne crois pas que (le secrétaire général adjoint de l'Elysée) François Pérol puisse être nommé à la tête de cette nouvelle entité. Tout simplement parce que les règles déontologiques ne l'autorisent pas", déclare le président de la commission des Finances du Sénat. Et M. Arthuis d'expliquer que ces règles "proscrivent aux responsables d'une administration qui ont eu à connaître très directement d'un dossier d'être nommés à la tête de l'entreprise au coeur de ce dossier". "Or c'est le cas de François Pérol", rappelle-t-il.[...] l'ancien ministre des Finances précise que si cette nomination "avait tout de même lieu, ce serait extrêmement choquant"."