Take a hint
Premier discours de Nick Clegg, le nouveau Vice-Premier ministre libéral-démocrate britannique, lu sur le blog Bug Brother, le 25 mai 2010 :
"Il est scandaleux que les gens respectueux des lois soient régulièrement traitées comme si elles avaient quelque chose à cacher.
Cela doit cesser.
Il n’y aura donc pas de système de carte d’identité.
Pas de registre national d’identité, pas de deuxième génération de passeports biométriques.
Nous ne surveillerons plus vos connexions internet et vos e-mails quand il n’y a tout simplement aucune raison de le faire.
La vidéosurveillance sera dûment réglementée, de même que la base de données ADN, avec des restrictions sur le stockage de l’ADN de personnes innocentes.
Et nous allons mettre fin aux pratiques qui risquent de faire de la Grande-Bretagne un pays où nos enfants grandissent en étant tellement habitués à voir violer leurs libertés qu’ils l’acceptent sans question.
Il n’y aura pas de base de données ContactPoint des enfants.
Les écoles ne pourront plus prendre les empreintes digitales des enfants sans même demander préalablement le consentement de leurs parents.
Ce gouvernement sera fier de voir les citoyens britanniques se dresser contre les démarches illégitime de l’État.
Cela donne de la valeur au débat, qui ne craint pas la dissidence.
C’est pourquoi nous allons supprimer les limitations sur le droit de manifester pacifiquement.
C’est pourquoi nous passerons en revue les lois sur la diffamation afin que nous puissions mieux protéger la liberté d’expression.
Et comme nous mettons en pièces le recueil des lois, nous allons faire quelque chose qu’aucun gouvernement n’a jamais fait :
Nous allons vous demander quelles sont les lois que vous pensez devoir être abrogées.
Parce que des milliers d’infractions pénales ont été créés sous le gouvernement précédent.
Rogner sur les liberté des gens n’a pas rendu nos rues plus sûres.
Légiférer de manière obsessionnelle transforme tout simplement les gens ordinaires en criminels potentiels.
Donc, nous allons nous débarrasser des lois inutiles, et une fois qu’elles ne seront plus là, elles ne reviendront pas."
Premier discours de Nick Clegg, le nouveau Vice-Premier ministre libéral-démocrate britannique, lu sur le blog Bug Brother, le 25 mai 2010 :
"Il est scandaleux que les gens respectueux des lois soient régulièrement traitées comme si elles avaient quelque chose à cacher.
Cela doit cesser.
Il n’y aura donc pas de système de carte d’identité.
Pas de registre national d’identité, pas de deuxième génération de passeports biométriques.
Nous ne surveillerons plus vos connexions internet et vos e-mails quand il n’y a tout simplement aucune raison de le faire.
La vidéosurveillance sera dûment réglementée, de même que la base de données ADN, avec des restrictions sur le stockage de l’ADN de personnes innocentes.
Et nous allons mettre fin aux pratiques qui risquent de faire de la Grande-Bretagne un pays où nos enfants grandissent en étant tellement habitués à voir violer leurs libertés qu’ils l’acceptent sans question.
Il n’y aura pas de base de données ContactPoint des enfants.
Les écoles ne pourront plus prendre les empreintes digitales des enfants sans même demander préalablement le consentement de leurs parents.
Ce gouvernement sera fier de voir les citoyens britanniques se dresser contre les démarches illégitime de l’État.
Cela donne de la valeur au débat, qui ne craint pas la dissidence.
C’est pourquoi nous allons supprimer les limitations sur le droit de manifester pacifiquement.
C’est pourquoi nous passerons en revue les lois sur la diffamation afin que nous puissions mieux protéger la liberté d’expression.
Et comme nous mettons en pièces le recueil des lois, nous allons faire quelque chose qu’aucun gouvernement n’a jamais fait :
Nous allons vous demander quelles sont les lois que vous pensez devoir être abrogées.
Parce que des milliers d’infractions pénales ont été créés sous le gouvernement précédent.
Rogner sur les liberté des gens n’a pas rendu nos rues plus sûres.
Légiférer de manière obsessionnelle transforme tout simplement les gens ordinaires en criminels potentiels.
Donc, nous allons nous débarrasser des lois inutiles, et une fois qu’elles ne seront plus là, elles ne reviendront pas."