Les temps sont difficiles...
Le Blog Secret Défense, 20 septembre 2009 :
"Selon nos informations, l'état-major des armées travaille actuellement sur le retour des hommes du Commandement des opérations spéciales (COS) en Afghanistan. Cette décision s'inscrit dans la vaste réorganisation du dispositif français, qui doit donner naissance, à partir du mois de novembre, à la brigade Lafayette. Les premiers élements du COS partiraient en octobre, avec la perspective de créer un Groupement de forces spéciales (GFS) au début de 2010."
Le Monde, 21 septembre 2009 :
"Le général américain Stanley McChrystal, le plus haut gradé américain en Afghanistan, prévient que sans augmentation des moyens militaires dans le pays, la coalition court à l'échec. [...] Le militaire estime aussi que "la faiblesse des institutions afghanes", la corruption, ainsi "que nos propres erreurs (...) ont donné très peu de raisons aux Afghans pour soutenir leur gouvernement". "Les insurgés ne peuvent pas nous battre militairement (...), mais nous pouvons nous battre nous-mêmes", écrit-il."
On voit mal comment plus de soldats vont changer la donne politique du pays.
Le Blog Secret Défense, 20 septembre 2009 :
"Selon nos informations, l'état-major des armées travaille actuellement sur le retour des hommes du Commandement des opérations spéciales (COS) en Afghanistan. Cette décision s'inscrit dans la vaste réorganisation du dispositif français, qui doit donner naissance, à partir du mois de novembre, à la brigade Lafayette. Les premiers élements du COS partiraient en octobre, avec la perspective de créer un Groupement de forces spéciales (GFS) au début de 2010."
Le Monde, 21 septembre 2009 :
"Le général américain Stanley McChrystal, le plus haut gradé américain en Afghanistan, prévient que sans augmentation des moyens militaires dans le pays, la coalition court à l'échec. [...] Le militaire estime aussi que "la faiblesse des institutions afghanes", la corruption, ainsi "que nos propres erreurs (...) ont donné très peu de raisons aux Afghans pour soutenir leur gouvernement". "Les insurgés ne peuvent pas nous battre militairement (...), mais nous pouvons nous battre nous-mêmes", écrit-il."
On voit mal comment plus de soldats vont changer la donne politique du pays.