Xénophobie choisie ou subie ?
Analyse du projet de loi "Hortefeux" sur l'immigration réalisé dans le cadre du collectif Uni(e)s contre une immigration jetable (UCIJ) :
"Fini le respect des droits fondamentaux de la personne humaine. L’avenir est à l’immigré qui sert et qui rapporte. Voilà la philosophie qui sous-tend le projet de loi. [...] Une des manières d’avoir des immigrés qui coûtent moins qu’ils ne rapportent, c’est de tout faire pour ne laisser entrer que ceux qui ont été formés ailleurs, ceux dont les compétences acquises ailleurs, sont, de ce fait, gratuites pour la France. [...] Elle n’était que députée quand l’actuelle ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, Roselyne Bachelot-Narquin, a écrit dans le Monde du 22 octobre 1999 qu’il faut « avoir le courage ou le cynisme de dire que nous allons nous livrer à une démarche néocolonialiste de grande envergure pour assurer la survie de nos sociétés postindustrielles vieillissantes. Après avoir pillé le tiers-monde de ses matières premières, nous nous apprêtons à le piller de ce qui sera la grande source de richesses du troisième millénaire : l'intelligence »."
Analyse du projet de loi "Hortefeux" sur l'immigration réalisé dans le cadre du collectif Uni(e)s contre une immigration jetable (UCIJ) :
"Fini le respect des droits fondamentaux de la personne humaine. L’avenir est à l’immigré qui sert et qui rapporte. Voilà la philosophie qui sous-tend le projet de loi. [...] Une des manières d’avoir des immigrés qui coûtent moins qu’ils ne rapportent, c’est de tout faire pour ne laisser entrer que ceux qui ont été formés ailleurs, ceux dont les compétences acquises ailleurs, sont, de ce fait, gratuites pour la France. [...] Elle n’était que députée quand l’actuelle ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, Roselyne Bachelot-Narquin, a écrit dans le Monde du 22 octobre 1999 qu’il faut « avoir le courage ou le cynisme de dire que nous allons nous livrer à une démarche néocolonialiste de grande envergure pour assurer la survie de nos sociétés postindustrielles vieillissantes. Après avoir pillé le tiers-monde de ses matières premières, nous nous apprêtons à le piller de ce qui sera la grande source de richesses du troisième millénaire : l'intelligence »."