On veut du blé
Nicolas, le 5 septembre, université d'été du MEDEF :
"Il nous manque un point de croissance pour résoudre nos problèmes, pour que l'avenir redevienne une promesse au lieu d'être une menace, pour que les enfants aient de nouveau le sentiment qu'ils vivront mieux que leurs parents."
Les Echos, 6 septembre 2007 :
"La hausse vertigineuse du prix des céréales provoque des cris d'alarme dans les rangs des éleveurs de porc, qui s'attendent au pire dans les semaines à venir. « On n'a jamais été aussi proches du désastre », affirme Guillaume Roué, le président d'Inaporc, l'interprofession porcine, « pourtant souvent confrontée » à des crises profondes. [...] Les stocks mondiaux sont en effet au plus bas, la demande est forte et les récoltes s'annoncent médiocres en raison de fâcheux épisodes météorologiques. Bref, ils ne voient pas d'autre solution que d'augmenter les prix du porc à la consommation dans une proportion de 22 % à 25 %"
Nicolas, le 5 septembre, université d'été du MEDEF :
"Il nous manque un point de croissance pour résoudre nos problèmes, pour que l'avenir redevienne une promesse au lieu d'être une menace, pour que les enfants aient de nouveau le sentiment qu'ils vivront mieux que leurs parents."
Les Echos, 6 septembre 2007 :
"La hausse vertigineuse du prix des céréales provoque des cris d'alarme dans les rangs des éleveurs de porc, qui s'attendent au pire dans les semaines à venir. « On n'a jamais été aussi proches du désastre », affirme Guillaume Roué, le président d'Inaporc, l'interprofession porcine, « pourtant souvent confrontée » à des crises profondes. [...] Les stocks mondiaux sont en effet au plus bas, la demande est forte et les récoltes s'annoncent médiocres en raison de fâcheux épisodes météorologiques. Bref, ils ne voient pas d'autre solution que d'augmenter les prix du porc à la consommation dans une proportion de 22 % à 25 %"