l'Eternel retour
Nicolas, le 4 août 2007, lit sa lettre aux éducateurs :
"Notre rôle n'est pas d'aider nos enfants à rester des enfants, [...] mais de les aider à devenir des adultes, à devenir des citoyens. Nous sommes tous des éducateurs."
ça me rapelle quelque chose... :
"Instituteurs de France, vous êtes à la fois des éducateurs et des instructeurs. Vous prenez possession de l'enfant pour former en lui l'homme."*
Nicolas poursuit :
"Car c'est un autre des défauts de notre éducation traditionnelle que d'opposer ce qui est manuel à ce qui est intellectuel."
Encore pris en flagrant-délit de rupture :
"Révélez-leur l'excellence, la dignité, noblesse des humbles métiers; montrez-le que toute tâche est belle où une âme humaine se met tout entière"*
Nicolas aime les profs :
"La Nation vous doit une reconnaissance plus grande, de meilleurs perspectives de carrière, un meilleur niveau de vie, de meilleurs conditions de travail."
Oups, déja-vu !
"Messieurs les instituteurs, je suis résolu à rendre à votre fonction la dignité qui lui revient."*
"Je désire que vous soyez honorés et que les conditions de votre vie soient assez assurées pour vous permettre de les oublier en vous donnant tout entiers à votre tâche."*
Nicolas déclarait pourtant :
"Ce que nous devons faire c'est poser les principes de l'éducation du XXIème siècle qui ne peuvent pas se satisfaire des principes d'hier et pas d'avantage de ceux d'avant-hier."
Les citations marquées d'un * datent pourtant de... 1942. Nous remercions Philippe Pétain et son message aux instituteurs pour leur participation.
Pour finir, Nicolas rappelle que :
"Nul ne doit entrer en 6e s'il n'a pas fait la preuve qu'il était capable de suivre l'enseignement du collège. Nul ne doit entrer en seconde s'il n'a pas fait la preuve qu'il était capable de suivre l'enseignement du lycée et le baccalauréat doit prouver la capacité à suivre un enseignement supérieur."
Que deviennent ces "nuls" justement, qui ne peuvent entrer nulle part ? Tout est prévu, ils seront :
"Entre le père, la mère, le professeur, le juge, le policier, l'éducateur social" (mon emphase).
Souriez les enfants, vous êtes cernés.
Nicolas, le 4 août 2007, lit sa lettre aux éducateurs :
"Notre rôle n'est pas d'aider nos enfants à rester des enfants, [...] mais de les aider à devenir des adultes, à devenir des citoyens. Nous sommes tous des éducateurs."
ça me rapelle quelque chose... :
"Instituteurs de France, vous êtes à la fois des éducateurs et des instructeurs. Vous prenez possession de l'enfant pour former en lui l'homme."*
Nicolas poursuit :
"Car c'est un autre des défauts de notre éducation traditionnelle que d'opposer ce qui est manuel à ce qui est intellectuel."
Encore pris en flagrant-délit de rupture :
"Révélez-leur l'excellence, la dignité, noblesse des humbles métiers; montrez-le que toute tâche est belle où une âme humaine se met tout entière"*
Nicolas aime les profs :
"La Nation vous doit une reconnaissance plus grande, de meilleurs perspectives de carrière, un meilleur niveau de vie, de meilleurs conditions de travail."
Oups, déja-vu !
"Messieurs les instituteurs, je suis résolu à rendre à votre fonction la dignité qui lui revient."*
"Je désire que vous soyez honorés et que les conditions de votre vie soient assez assurées pour vous permettre de les oublier en vous donnant tout entiers à votre tâche."*
Nicolas déclarait pourtant :
"Ce que nous devons faire c'est poser les principes de l'éducation du XXIème siècle qui ne peuvent pas se satisfaire des principes d'hier et pas d'avantage de ceux d'avant-hier."
Les citations marquées d'un * datent pourtant de... 1942. Nous remercions Philippe Pétain et son message aux instituteurs pour leur participation.
Pour finir, Nicolas rappelle que :
"Nul ne doit entrer en 6e s'il n'a pas fait la preuve qu'il était capable de suivre l'enseignement du collège. Nul ne doit entrer en seconde s'il n'a pas fait la preuve qu'il était capable de suivre l'enseignement du lycée et le baccalauréat doit prouver la capacité à suivre un enseignement supérieur."
Que deviennent ces "nuls" justement, qui ne peuvent entrer nulle part ? Tout est prévu, ils seront :
"Entre le père, la mère, le professeur, le juge, le policier, l'éducateur social" (mon emphase).
Souriez les enfants, vous êtes cernés.