Bonnet d'âne
Le président de la Banque Centrale allemande (la Bundesbank), Axel Weber, dans l'Independent, le 17 septembre a déclaré que la compréhension des réalités économiques par le petit Nicolas est égale à zéro.
Un article toujours intructif de l'économiste Michel Husson :
"Le premier [sondage] (TNT Sofrès) révélait que 71 % des Français sur dix jugeaient son action positive. Mais ce sondage contenait un couac assez réjouissant, que Le Figaro s’est empressé de ne pas commenter : les trois quarts des sondés déclaraient aussi que Sarkozy était « démagogique ». Selon un autre sondage du CSA, 67 % des personnes interrogées trouvaient que « le rythme des réformes » n’était « ni trop rapide ni trop lent », mais 61 % se disaient opposés à l’institution d’une franchise sur les dépenses de santé ; 60 % à la TVA sociale, et 54 % à l’assouplissement du code du travail. Le sondage CSA montre que le pouvoir d’achat est la préoccupation n°1 des Français : ils sont 72 % à la citer (contre 65 % un an plutôt) ; mais ils sont seulement 28 %, selon le sondage TNT Sofrès, à trouver positive l’action du gouvernement en ce domaine. [...] la politique de Sarkozy va à l’encontre des intérêts de la majorité de la population. Seule une communication extraordinairement bien faite s’oppose à cette prise de conscience et toutes les rodomontades gouvernementales n’empêcheront pas le prix de la baguette d’augmenter en même temps que la gabelle."
Le président de la Banque Centrale allemande (la Bundesbank), Axel Weber, dans l'Independent, le 17 septembre a déclaré que la compréhension des réalités économiques par le petit Nicolas est égale à zéro.
Un article toujours intructif de l'économiste Michel Husson :
"Le premier [sondage] (TNT Sofrès) révélait que 71 % des Français sur dix jugeaient son action positive. Mais ce sondage contenait un couac assez réjouissant, que Le Figaro s’est empressé de ne pas commenter : les trois quarts des sondés déclaraient aussi que Sarkozy était « démagogique ». Selon un autre sondage du CSA, 67 % des personnes interrogées trouvaient que « le rythme des réformes » n’était « ni trop rapide ni trop lent », mais 61 % se disaient opposés à l’institution d’une franchise sur les dépenses de santé ; 60 % à la TVA sociale, et 54 % à l’assouplissement du code du travail. Le sondage CSA montre que le pouvoir d’achat est la préoccupation n°1 des Français : ils sont 72 % à la citer (contre 65 % un an plutôt) ; mais ils sont seulement 28 %, selon le sondage TNT Sofrès, à trouver positive l’action du gouvernement en ce domaine. [...] la politique de Sarkozy va à l’encontre des intérêts de la majorité de la population. Seule une communication extraordinairement bien faite s’oppose à cette prise de conscience et toutes les rodomontades gouvernementales n’empêcheront pas le prix de la baguette d’augmenter en même temps que la gabelle."