La fin d'un monopole
Le Figaro, 13 décembre 2008 :
"Les vigiles, agents de filtrage des aéroports et autres cerbères des sociétés de surveillance reviennent en grâce au ministère de l'Intérieur. «Le temps est venu de reconnaître la place du secteur privé dans la protection de nos concitoyens» , écrit Michèle Alliot-Marie dans un livre blanc sur «la participation de la sécurité privée à la sécurité générale en Europe», qu'elle dévoilera lundi à Paris. Ce document, auquel Le Figaro a eu accès, est préfacé par le président de la République en personne. [...]À l'heure où la France s'engage dans une Révision générale des politiques publiques (RGPP) qui devrait lui faire perdre plusieurs milliers de policiers d'ici à 2012, «cette étude ouvre une ère nouvelle dans la relation public-privé», se félicite Claude Tarlet, vice-président du syndicat européen des sociétés de sécurité privée. Nicolas Sarkozy parle même de «coproduction» de sécurité à terme. [...] Dans les dix ans qui viennent, avec 200 000 effectifs au total, le nombre de privés dans l'Hexagone sera équivalent à celui des policiers et des gendarmes réunis. L'insécurité ne connaît pas la crise."
Le Figaro, 13 décembre 2008 :
"Les vigiles, agents de filtrage des aéroports et autres cerbères des sociétés de surveillance reviennent en grâce au ministère de l'Intérieur. «Le temps est venu de reconnaître la place du secteur privé dans la protection de nos concitoyens» , écrit Michèle Alliot-Marie dans un livre blanc sur «la participation de la sécurité privée à la sécurité générale en Europe», qu'elle dévoilera lundi à Paris. Ce document, auquel Le Figaro a eu accès, est préfacé par le président de la République en personne. [...]À l'heure où la France s'engage dans une Révision générale des politiques publiques (RGPP) qui devrait lui faire perdre plusieurs milliers de policiers d'ici à 2012, «cette étude ouvre une ère nouvelle dans la relation public-privé», se félicite Claude Tarlet, vice-président du syndicat européen des sociétés de sécurité privée. Nicolas Sarkozy parle même de «coproduction» de sécurité à terme. [...] Dans les dix ans qui viennent, avec 200 000 effectifs au total, le nombre de privés dans l'Hexagone sera équivalent à celui des policiers et des gendarmes réunis. L'insécurité ne connaît pas la crise."