"Selon l'institut CSA, 65% des Français se disent "pas choqués" par les vacances luxueuses de Nicolas Sarkozy payées par Vincent Bolloré." (Nouvelobs.com, 11 mai 2007).
L'institut CSA est détenu à 44% par le groupe Bolloré (également fondateur du papier à cigarettes OCB dont le nom signifie Odet-Cascadec-Bolloré. Ami fumeur tu es un collabo).
Une journée calme, on ne peut ajouter "que" deux nouveaux mensonges au compteur de Nicolas:
"Vincent Bolloré est un des grands industriels français, il n'a jamais travaillé avec l'Etat". (Le Monde du 9 mai 2007).
Le groupe Bolloré a bien obtenu plusieurs contrats publics (Bulletin Officiel des Annonces des Marchés Publics 050C, 041C...).
Peut-être un oubli, mais cela semble peu probable si l'on considère que d'après Nicolas "Cela fait vingt ans qu'il m'invite et vingt ans que je refuse"...
Toujours dans le Monde: "Lors d'un épisode resté célèbre, en 1997, Vincent Bolloré lance un raid boursier inamical sur le groupe Bouygues [...] L'un des conseils et avocats de Martin Bouygues dans cette affaire était Nicolas Sarkozy." Nul doute que le petit Nicolas n'a pas été invité en vacances ce printemps là.