Tout va bien
Le Figaro, 5 février 2008 :
"Un enfant en état de grande dépression pourra désormais être mis sous anti-dépresseurs. L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) a accordé mardi une « extension d'indication » pour le Prozac, jusqu'alors réservé aux adultes. [...] être sous Prozac à huit ans peut s'avérer dangereux. [...] « en particulier des atteintes testiculaires irréversibles » précise le rapport. En outre, il peut entraîner un comportement suicidaire, surtout en début de traitement.[...] L'agence recommande également que le médicament soit prescrit uniquement par des psychiatres ou pédopsychiatres, et non des généralistes. Mais l'AFSSAPS n'émet que des recommandations et n'impose rien. « Le nombre de pédopsychiatre étant insuffisant en France, des généralistes seront amenés à le prescrire aussi »"
Une dépêche AFP le même jour :
"La ministre de la Justice Rachida Dati a qualifié de "drame" le suicide d'un adolescent dans l'établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Meyzieu (Rhône), ajoutant toutefois que cela "ne remet pas en cause" ce nouveau type d'établissement. [...] "Il s'agit de prendre en compte aussi la souffrance de ces mineurs, qu'ils soient délinquants ou pas. C'est aussi la raison pour laquelle j'ai souhaité qu'en 2008 il y ait cinq centres éducatifs fermés avec une vraie prise en charge pédo-psychiatrique", a-t-elle conclu."
Autre son de cloche sur le site de LibéLyon :
"Pour la première fois, un adolescent s’est pendu dans un des établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM). Le premier ouvert en France, l’an passé.[...] La direction régionale de l’administration pénitentiaire indique que le garçon avait déjà essayé, une semaine après son arrivée.[...] Les professionnels n’ont pas été concertés avant la construction. Résultat : les aberrations s’accumulent. La psychologue ne dispose d’aucun bureau pour les entretiens en tête-à-tête. Elle s’installe au gré des salles disponibles. [...] Les éducateurs, censés préparer la sortie des mineurs, ne disposent pas de téléphone pour joindre les familles, les magistrats et les partenaires censés préparer la réinsertion."
Le Figaro, 5 février 2008 :
"Un enfant en état de grande dépression pourra désormais être mis sous anti-dépresseurs. L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) a accordé mardi une « extension d'indication » pour le Prozac, jusqu'alors réservé aux adultes. [...] être sous Prozac à huit ans peut s'avérer dangereux. [...] « en particulier des atteintes testiculaires irréversibles » précise le rapport. En outre, il peut entraîner un comportement suicidaire, surtout en début de traitement.[...] L'agence recommande également que le médicament soit prescrit uniquement par des psychiatres ou pédopsychiatres, et non des généralistes. Mais l'AFSSAPS n'émet que des recommandations et n'impose rien. « Le nombre de pédopsychiatre étant insuffisant en France, des généralistes seront amenés à le prescrire aussi »"
Une dépêche AFP le même jour :
"La ministre de la Justice Rachida Dati a qualifié de "drame" le suicide d'un adolescent dans l'établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Meyzieu (Rhône), ajoutant toutefois que cela "ne remet pas en cause" ce nouveau type d'établissement. [...] "Il s'agit de prendre en compte aussi la souffrance de ces mineurs, qu'ils soient délinquants ou pas. C'est aussi la raison pour laquelle j'ai souhaité qu'en 2008 il y ait cinq centres éducatifs fermés avec une vraie prise en charge pédo-psychiatrique", a-t-elle conclu."
Autre son de cloche sur le site de LibéLyon :
"Pour la première fois, un adolescent s’est pendu dans un des établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM). Le premier ouvert en France, l’an passé.[...] La direction régionale de l’administration pénitentiaire indique que le garçon avait déjà essayé, une semaine après son arrivée.[...] Les professionnels n’ont pas été concertés avant la construction. Résultat : les aberrations s’accumulent. La psychologue ne dispose d’aucun bureau pour les entretiens en tête-à-tête. Elle s’installe au gré des salles disponibles. [...] Les éducateurs, censés préparer la sortie des mineurs, ne disposent pas de téléphone pour joindre les familles, les magistrats et les partenaires censés préparer la réinsertion."