Pipoteurs niveau 3
Le Monde, 26 février 2008 :
"Critiqué pour le ton de sa présidence et malmené dans les sondages, le président français se défend, dans un entretien publié mardi 26 février par Le Parisien-Aujourd'hui en France, dans lequel il justifie sa méthode, tout en admettant, à propos de l'altercation qui l'a opposé samedi à un visiteur du Salon de l'agriculture, qu'il aurait "mieux fait de ne pas lui répondre". [...] Dominique de Montvalon, directeur de la rédaction du quotidien, interrogé mardi matin sur Canal +, a cependant précisé que cette dernière phrase "n'a pas été prononcée" devant le panel de lecteurs du quotidien qui ont interrogé M. Sarkozy. "Ils retrouvent dans le journal quelque chose que le président n'a pas dit, qu'ils n'ont pas entendu."' L'esquisse de mea culpa présidentiel a été insérée a posteriori dans l'entretien par l'Elysée qui a amendé et corrigé le texte avant de le retransmettre au journal" (mon emphase)
Le Figaro, 25 février 2008 :
"Sa sortie de prison, prévue pour avril 2010, est de celles qui inquiètent tout particulièrement Rachida Dati. Le 8 janvier dernier, devant l'Assemblée nationale, [Rachida Dati] a même implicitement évoqué le cas de Dominique C., violeur en série condamné, le 14 avril 2000, à vingt ans de réclusion. Sans citer le nom de ce prévenu, elle a averti, pour mieux défendre la loi relative à la rétention de sûreté : «L'individu, libérable en 2010, a fait savoir qu'il comptait recommencer. Ne rien faire serait impardonnable.» [...] l'avocat de Dominique C., Me Yves Sauvayre, s'est dit «choqué» par les déclarations du garde des Sceaux, indiquant : «Mon client, d'un tempérament plutôt réservé, n'est pas du genre à fanfaronner de la sorte.» À Riom, un surveillant du centre de rétention le confirme : «Ce détenu est très discret. Il se mêle peu aux autres et je n'ai pas entendu parler de ses menaces de récidive.»"
Le Monde, 26 février 2008 :
"Critiqué pour le ton de sa présidence et malmené dans les sondages, le président français se défend, dans un entretien publié mardi 26 février par Le Parisien-Aujourd'hui en France, dans lequel il justifie sa méthode, tout en admettant, à propos de l'altercation qui l'a opposé samedi à un visiteur du Salon de l'agriculture, qu'il aurait "mieux fait de ne pas lui répondre". [...] Dominique de Montvalon, directeur de la rédaction du quotidien, interrogé mardi matin sur Canal +, a cependant précisé que cette dernière phrase "n'a pas été prononcée" devant le panel de lecteurs du quotidien qui ont interrogé M. Sarkozy. "Ils retrouvent dans le journal quelque chose que le président n'a pas dit, qu'ils n'ont pas entendu."' L'esquisse de mea culpa présidentiel a été insérée a posteriori dans l'entretien par l'Elysée qui a amendé et corrigé le texte avant de le retransmettre au journal" (mon emphase)
Le Figaro, 25 février 2008 :
"Sa sortie de prison, prévue pour avril 2010, est de celles qui inquiètent tout particulièrement Rachida Dati. Le 8 janvier dernier, devant l'Assemblée nationale, [Rachida Dati] a même implicitement évoqué le cas de Dominique C., violeur en série condamné, le 14 avril 2000, à vingt ans de réclusion. Sans citer le nom de ce prévenu, elle a averti, pour mieux défendre la loi relative à la rétention de sûreté : «L'individu, libérable en 2010, a fait savoir qu'il comptait recommencer. Ne rien faire serait impardonnable.» [...] l'avocat de Dominique C., Me Yves Sauvayre, s'est dit «choqué» par les déclarations du garde des Sceaux, indiquant : «Mon client, d'un tempérament plutôt réservé, n'est pas du genre à fanfaronner de la sorte.» À Riom, un surveillant du centre de rétention le confirme : «Ce détenu est très discret. Il se mêle peu aux autres et je n'ai pas entendu parler de ses menaces de récidive.»"