Top modèle
26 avril 2007, dans Libération :
"La présidente du Medef, Laurence Parisot, souhaite s'inspirer des modèles britannique ou allemand pour relancer, en France, le dialogue entre politique et économie."
Tribune du premier ministre Fifi le 14 octobre 2007 dans le Figaro :
"L’Allemagne va mieux. Elle tire aujourd’hui profit de courageuses réformes menées depuis 2000, notamment celle du marché du travail. Sa croissance est bonne, son chômage baisse, ses déficits se résorbent. Ces résultats créent un vrai défi pour la France. Pourquoi ne ferions-nous pas aussi bien ?" (mon emphase)
Le Monde, 2 février 2008 :
"Les syndicats allemands ont lancé un avertissement au patronat vendredi 1er février. Plusieurs secteurs ont été touchés par des grèves, et d'autres mouvements sont déjà annoncés. Avec un message clair : le temps de l'austérité salariale est révolu. [...] Plus surprenant : aucun métro, bus ou tramway ne circulait vendredi à Berlin. La grève, déclenchée dans la nuit à l'appel du syndicat de services Ver.di, devait se terminer samedi à 15 heures. La régie des transports berlinois, BVG, n'avait pas connu de mouvement social de cette ampleur depuis plus de dix ans. [...] Selon les calculs du ministère des finances, le salaire net moyen des Allemands se situe aujourd'hui en dessous du niveau de 1991. [...] En même temps, la croissance est de retour en Allemagne et les entreprises enregistrent des profits records."
On trouve encore cette information sur ce blog :
"453 000 allemands travaillent à temps plein sans pouvoir subvenir à leurs besoins. « Le problème des travailleurs pauvres est une réalité ici, affirme Karsten Mark, journaliste à Dortmund. Ces gens travaillent souvent comme facteurs dans des services postaux privés ou comme vigiles. Cela provoque un vif débat sur l’instauration d’un salaire minimum. » Selon le ministère du travail, le revenu net réel des salariés allemands est aujourd’hui inférieur à celui de 1986."
26 avril 2007, dans Libération :
"La présidente du Medef, Laurence Parisot, souhaite s'inspirer des modèles britannique ou allemand pour relancer, en France, le dialogue entre politique et économie."
Tribune du premier ministre Fifi le 14 octobre 2007 dans le Figaro :
"L’Allemagne va mieux. Elle tire aujourd’hui profit de courageuses réformes menées depuis 2000, notamment celle du marché du travail. Sa croissance est bonne, son chômage baisse, ses déficits se résorbent. Ces résultats créent un vrai défi pour la France. Pourquoi ne ferions-nous pas aussi bien ?" (mon emphase)
Le Monde, 2 février 2008 :
"Les syndicats allemands ont lancé un avertissement au patronat vendredi 1er février. Plusieurs secteurs ont été touchés par des grèves, et d'autres mouvements sont déjà annoncés. Avec un message clair : le temps de l'austérité salariale est révolu. [...] Plus surprenant : aucun métro, bus ou tramway ne circulait vendredi à Berlin. La grève, déclenchée dans la nuit à l'appel du syndicat de services Ver.di, devait se terminer samedi à 15 heures. La régie des transports berlinois, BVG, n'avait pas connu de mouvement social de cette ampleur depuis plus de dix ans. [...] Selon les calculs du ministère des finances, le salaire net moyen des Allemands se situe aujourd'hui en dessous du niveau de 1991. [...] En même temps, la croissance est de retour en Allemagne et les entreprises enregistrent des profits records."
On trouve encore cette information sur ce blog :
"453 000 allemands travaillent à temps plein sans pouvoir subvenir à leurs besoins. « Le problème des travailleurs pauvres est une réalité ici, affirme Karsten Mark, journaliste à Dortmund. Ces gens travaillent souvent comme facteurs dans des services postaux privés ou comme vigiles. Cela provoque un vif débat sur l’instauration d’un salaire minimum. » Selon le ministère du travail, le revenu net réel des salariés allemands est aujourd’hui inférieur à celui de 1986."