Le bonheur est dans le prêt
Allocution de Cricri Lagarde, le 24 août :
"Nous avons les bases d’une croissance dynamique pour les prochains mois. [...] Cette tendance reflète le dynamisme de la consommation des ménages, garant d’une croissance durable.[...] Nous sommes donc déterminés, par une politique économique dynamique, agissant à la fois sur l’offre et sur la demande, à court et à moyen terme, à atteindre des objectifs ambitieux de croissance." (mon emphase).
Le Financial Times du 26 août :
"Le prix de certains produits agricoles comme le blé, le cacao et le café ont augmenté au cours des dernières années, des sécheresses sévères, une consommation accrue dans les pays développés et l'usage croissant des grains pour les biocarburants ayant diminué les réserves."
Et dans cette autre article :
"les analystes ont réduits leur prévision de 2% à 1,8% [de croissance] [...] "ce sera difficile d'atteindre même 2% cette année" confie Mathieu Kaiser, économiste à BNP Paribas. [...] Le coût de 11 milliards d'euros des mesures fiscales s'appuyait sur une croissance de 2,25%, M. Sarkozy aura une marge de manoeuvre très limité pour ses réformes suivantes. [...] "Nous allons assisté à une évolution dangereuse des finances publiques" selon Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis. "Nous pourrions même dépasser le seuil de 3% [de déficit] du PNB si l'on ne prends pas des mesures exceptionnelles"
Des mesures exceptionnelles qui ne risqueront pas de toucher les grosses fortunes françaises (si l'on s'en tient aux dernières réformes de Nicolas). Alors qui ?
Stockez des baguettes dans le freezer...
Allocution de Cricri Lagarde, le 24 août :
"Nous avons les bases d’une croissance dynamique pour les prochains mois. [...] Cette tendance reflète le dynamisme de la consommation des ménages, garant d’une croissance durable.[...] Nous sommes donc déterminés, par une politique économique dynamique, agissant à la fois sur l’offre et sur la demande, à court et à moyen terme, à atteindre des objectifs ambitieux de croissance." (mon emphase).
Le Financial Times du 26 août :
"Le prix de certains produits agricoles comme le blé, le cacao et le café ont augmenté au cours des dernières années, des sécheresses sévères, une consommation accrue dans les pays développés et l'usage croissant des grains pour les biocarburants ayant diminué les réserves."
Et dans cette autre article :
"les analystes ont réduits leur prévision de 2% à 1,8% [de croissance] [...] "ce sera difficile d'atteindre même 2% cette année" confie Mathieu Kaiser, économiste à BNP Paribas. [...] Le coût de 11 milliards d'euros des mesures fiscales s'appuyait sur une croissance de 2,25%, M. Sarkozy aura une marge de manoeuvre très limité pour ses réformes suivantes. [...] "Nous allons assisté à une évolution dangereuse des finances publiques" selon Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis. "Nous pourrions même dépasser le seuil de 3% [de déficit] du PNB si l'on ne prends pas des mesures exceptionnelles"
Des mesures exceptionnelles qui ne risqueront pas de toucher les grosses fortunes françaises (si l'on s'en tient aux dernières réformes de Nicolas). Alors qui ?
Stockez des baguettes dans le freezer...