Jailhouse rock
Rachida Dati, le 31 juillet 2007 devant le sénat :
"La France a fait le choix d'un contrôle unique, inspiré du modèle que la Grande-Bretagne a mis en place en 1981 : celui de l'inspecteur en chef des prisons. [...] Madame Owers fait état des améliorations considérables, accomplies depuis 1981. Ce sont des progrès en faveur de la santé, de l'humanisation des lieux d'enfermement, et de la prévention des suicides. Nous connaissons tous l'attachement historique de la Grande-Bretagne aux droits de la personne humaine. La France peut s'enrichir de l'expérience de son voisin européen. Elle doit en faire bénéficier ses citoyens."
Rachida devrait prendre des cours d'anglais ou acheter de nouvelles lunettes, elle pourrait ainsi lire que la population carcérale britannique est passée de 45 000 en 1993 à pratiquement 80 000 aujourd'hui (source : Prison Reform Trust). Le site précise que :
"la raison de cette augmentation n'est pas liée à celle de la criminalité, celle-ci est stable ou en déclin [...] mais l'extension de la prison aux délits mineurs et à l'augmentation des peines"
et d'ajouter
"la récidive suite à la prison est passé de 51% en 1992 à 67%. Les prisons surpeuplées ne fonctionnent pas"
Certains hommes politique anglais vont même jusqu'à parler de "disgrâce nationale" (site de la BBC).
Ce qui ne l'empêchait pas de répéter encore devant le Sénat, le 5 juillet 2007 :
"Je ne puis évidemment, à cet égard, que déplorer ces autres caricatures qui, à partir d'une vision mécanique, ont fait dire que la loi aurait pour effet d'augmenter le nombre de détenus."
Alors que Fifi en remet une couche le 31 juillet 2007 :
"le budget de la justice sera marqué par une progression de 4,5 %, notamment destinée à la poursuite du programme de construction et d’augmentation des capacités d’accueil de nos moyens pénitentiaires"
Rachida Dati, le 31 juillet 2007 devant le sénat :
"La France a fait le choix d'un contrôle unique, inspiré du modèle que la Grande-Bretagne a mis en place en 1981 : celui de l'inspecteur en chef des prisons. [...] Madame Owers fait état des améliorations considérables, accomplies depuis 1981. Ce sont des progrès en faveur de la santé, de l'humanisation des lieux d'enfermement, et de la prévention des suicides. Nous connaissons tous l'attachement historique de la Grande-Bretagne aux droits de la personne humaine. La France peut s'enrichir de l'expérience de son voisin européen. Elle doit en faire bénéficier ses citoyens."
Rachida devrait prendre des cours d'anglais ou acheter de nouvelles lunettes, elle pourrait ainsi lire que la population carcérale britannique est passée de 45 000 en 1993 à pratiquement 80 000 aujourd'hui (source : Prison Reform Trust). Le site précise que :
"la raison de cette augmentation n'est pas liée à celle de la criminalité, celle-ci est stable ou en déclin [...] mais l'extension de la prison aux délits mineurs et à l'augmentation des peines"
et d'ajouter
"la récidive suite à la prison est passé de 51% en 1992 à 67%. Les prisons surpeuplées ne fonctionnent pas"
Certains hommes politique anglais vont même jusqu'à parler de "disgrâce nationale" (site de la BBC).
Ce qui ne l'empêchait pas de répéter encore devant le Sénat, le 5 juillet 2007 :
"Je ne puis évidemment, à cet égard, que déplorer ces autres caricatures qui, à partir d'une vision mécanique, ont fait dire que la loi aurait pour effet d'augmenter le nombre de détenus."
Alors que Fifi en remet une couche le 31 juillet 2007 :
"le budget de la justice sera marqué par une progression de 4,5 %, notamment destinée à la poursuite du programme de construction et d’augmentation des capacités d’accueil de nos moyens pénitentiaires"