Les rapetous
Le petit Nicolas, conférence de presse conjointe avec Angela MERKEL le 10 septembre 2007 :
"Deuxième proposition commune : il faut moraliser le capitalisme financier.[...] Nous voulons de la transparence. Nous voulons de la régulation. Nous voulons un capitalisme pour les entrepreneurs et non pas pour les spéculateurs."
Le Figaro, 3 octobre 2007 :
"L'AMF (Autorité des marchés financiers) vient de transmettre au parquet de Paris un document accablant pour les groupes Lagardère, DaimlerChrysler, actionnaires d'EADS, ainsi que pour les principaux dirigeants du groupe européen et de sa filiale Airbus. Cette « note préliminaire », dont Le Figaro a pris connaissance, conclut à un délit d'initié massif commis entre novembre 2005 et mars 2006, avant que les difficultés d'Airbus soient rendues publiques et que l'action EADS s'effondre. [...] le management d'EADS va présenter son business plan à l'État, son actionnaire à 15 % représenté par l'APE (Agence des participations de l'État). À l'issue de cette réunion, une note est envoyée au ministre des finances, Thierry Breton, pour l'inciter à vendre au plus vite une partie de ses actions"
Le petit Nicolas, conférence de presse conjointe avec Angela MERKEL le 10 septembre 2007 :
"Deuxième proposition commune : il faut moraliser le capitalisme financier.[...] Nous voulons de la transparence. Nous voulons de la régulation. Nous voulons un capitalisme pour les entrepreneurs et non pas pour les spéculateurs."
Le Figaro, 3 octobre 2007 :
"L'AMF (Autorité des marchés financiers) vient de transmettre au parquet de Paris un document accablant pour les groupes Lagardère, DaimlerChrysler, actionnaires d'EADS, ainsi que pour les principaux dirigeants du groupe européen et de sa filiale Airbus. Cette « note préliminaire », dont Le Figaro a pris connaissance, conclut à un délit d'initié massif commis entre novembre 2005 et mars 2006, avant que les difficultés d'Airbus soient rendues publiques et que l'action EADS s'effondre. [...] le management d'EADS va présenter son business plan à l'État, son actionnaire à 15 % représenté par l'APE (Agence des participations de l'État). À l'issue de cette réunion, une note est envoyée au ministre des finances, Thierry Breton, pour l'inciter à vendre au plus vite une partie de ses actions"